Cher Olivier, chères Kitsch Girls,

Aujourd’hui, je ne puis être parmi vous physiquement. Dès ma sortie du cabinet de mon psy vers 19h30, je le serai par la pensée, je vous le promets.

En effet, comme vous le savez, la kitschologie n’étant pas encore une science parfaitement connue et maitrisée, elle nécessite un suivi neuro-psychiatrique hebdomadaire ou quasi-journalier, afin de ne faire courir aucun risque aux chercheurs que nous sommes. Nos synapses, neurones et autre tympans sont soumis à de rudes pressions.

Et je vous rassure, depuis quelques temps, mon psy va beaucoup mieux. Il lui arrive même de me parler de ses angoisses. Il sourit même, quelques fois. Mais je m’égare…

De tout coeur, je vous souhaite une bonne émission !

E viva el kitscho (comme disent les hispanophones kitschophiles de Papouasie-Nouvelle Guinée) !

Votre dévoué…

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